Traditionnellement, l’image que nous avions de la calvitie était celle d’une personne d’âge moyen ou d’une personne âgée avec des antécédents familiaux. Cependant, ces dernières années, ce paradigme a radicalement changé et l’alopécie juvénile est un problème courant.
Qu’est-ce que l’alopécie juvénile
L’alopécie juvénile peut être définie comme une perte précoce des cheveux. Il faut dire que c’est généralement le principal problème pour lequel de nombreux jeunes consultent un médecin. Bien qu’elle touche les deux sexes, elle est plus évidente chez les hommes entre 20 et 30 ans. Elle peut se manifester de différentes manières : de golfs frontaux prononcés à la perte de tous les cheveux en quelques années. Parfois, les personnes atteintes tentent de dissimuler la situation en se rasant la tête à zéro.
Cependant, tout le monde ne souhaite pas le faire et, de plus, les motifs esthétiques changent d’un cas à l’autre. Bien qu’elle ne soit pas aussi évidente chez les femmes, elle peut aussi être perceptible et, comme elle est rare, elle est plus impressionnante.
Causes de l’alopécie juvénile
L’alopécie juvénile peut être due à plusieurs raisons, c’est pourquoi il est important de les distinguer. Bien qu’il puisse y avoir une influence sur l’héritage génétique et l’alopécie, il existe d’autres raisons qui pèsent plus lourd dans la perte de cheveux.
Tout d’abord, la pollution environnementale dans les sociétés développées est un facteur qui favorise la chute des cheveux. Deuxièmement, l’utilisation de shampooings avec des produits agressifs pour le cuir chevelu, qui étaient courants il y a encore quelques années. Troisièmement, l’abus de certains lisseurs ou sèche-cheveux qui finissent par brûler les cheveux. Ou l’utilisation de colorants.
Également dans le stress, très fréquent à l’adolescence et au début de la jeunesse, qui est un mal de notre époque. Enfin, il convient de noter qu’une mauvaise alimentation a une influence décisive sur la force des cheveux. Certains de ces facteurs sont communs à d’autres âges, mais il est également vrai qu’ils se produisent dans une plus grande mesure chez les jeunes.
Ces raisons de la perte de cheveux sont souvent négligées au profit de l’explication génétique, à laquelle sont attribués la plupart des cas. Cependant, la génétique a toujours existé (nous ne le savions simplement pas) et ces dernières années, le nombre de cas d’alopécie juvénile s’est multiplié. Nous devrons conclure qu’il existe également d’autres raisons importantes qui en sont la cause. N’oubliez pas que chaque cheveu est différent et que la réaction à certains stimuli est également différente.
Comment traiter l’alopécie juvénile
Lorsqu’on est confronté à un problème d’alopécie juvénile, la première chose à faire est d’effectuer une étude pour en localiser les causes. Comme nous l’avons vu, il y a plusieurs raisons qui peuvent provoquer cette situation. Des décisions drastiques peuvent devoir être prises, mais il est également possible que les cheveux aient simplement besoin d’être renforcés pour pouvoir repousser.
Il faut avant tout consulter pour trouver la cause de l’alopécie, et évaluer ensuite les actions qui peuvent être prises. Si l’on vous propose un type de traitement sans évaluation préalable, méfiez-vous. Outre le fait que vous n’en avez peut-être pas besoin, cela peut être dangereux pour votre santé. Pour votre sécurité, nous vous recommandons de travailler avec des cliniques spécialisées qui vous donnent des garanties.
Traitements préventifs
Par exemple, les traitements de prévention et de régénération de la chute des cheveux visent à modifier les conditions de la croissance des cheveux. Une personne en bonne santé perd environ 100 cheveux par jour. Le problème est que, en cas d’alopécie, cette proportion est multipliée. Le traitement par biostimulation capillaire est utilisé pour stopper la chute des cheveux et rendre plus forts les cheveux qui poussent.
De cette manière, il est possible d’inverser la tendance et de prévenir l’alopécie juvénile. Ces traitements ont fait leurs preuves, c’est pourquoi ils sont utilisés par un nombre croissant de personnes.
En traitement médicamentaux (consultez un médecin), on retrouve le populaire Minoxdidil et le Finastéride.
